La parasha de Ki Teitzei contient soixante-quatorze commandements. Parmi ceux-ci figurent les lois relatives à la belle captive, les droits d’héritage du premier-né, le fils rebelle et égaré, l’enterrement et la dignité des morts, la restitution d’un objet perdu, le renvoi de la mère oiseau avant d’emmener son petit, les lois du divorce, et bien d’autres encore.

Ki Teitzei conclut par l’obligation de se souvenir de « ce qu’Amalek vous a fait sur la route, à votre sortie d’Égypte ».

Les premières lettres du verset hébreu « Ani ledodi vidodi li », « Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi » (Cantique des Cantiques 6:3), forment Eloul, signifiant une proximité intime et aimante entre D.ieu (mon Bien-aimé) et Son peuple durant ce dernier mois du calendrier juif.

Eloul est le mois de la préparation spirituelle aux Grandes Fêtes. Le travail intérieur de responsabilité spirituelle et de retour à sa véritable essence, effectué pendant ce mois, influence notre capacité à nous tenir devant D.ieu et à attirer les bénédictions pour l'année à venir.

Les premières lettres du verset hébreu « Ani ledodi vidodi li », « Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aimé est à moi » (Cantique des Cantiques 6:3), forment Eloul, signifiant une proximité intime et aimante entre D.ieu (mon Bien-aimé) et Son peuple durant ce dernier mois du calendrier juif.

Eloul est le mois de la préparation spirituelle aux Grandes Fêtes. Le travail intérieur de responsabilité spirituelle et de retour à sa véritable essence, effectué pendant ce mois, influence notre capacité à nous tenir devant D.ieu et à attirer les bénédictions pour l'année à venir.

Le moment de l'arrivée du Mashiach nous est caché, afin que nous nous efforcions de l'accélérer en accomplissant les mitsvot et en travaillant sur nous-mêmes. Si nous connaissions le moment exact de son arrivée, nous ne ressentirions pas l'urgence d'œuvrer pour sa venue.

Le Kaiser d'Autriche rendit visite au Tsar de Russie. Un dîner d'État avec tous les accompagnements fut servi. Au menu, on trouvait du kishke, autrement dit du derme farci. Le vrai kishke est en fait les intestins de l'animal farcis de farine, d'huile et de toutes sortes d'épices.

Le Kaiser adora cela. Il demanda au Tsar d'envoyer la recette à ses cuisiniers, ce que le Tsar promit gracieusement. Après le départ du Kaiser, les cuisiniers russes écrivirent la recette et l'envoyèrent par courrier diplomatique aux chefs du Kaiser.

Le jour arriva enfin où le Kaiser fut informé qu'on lui servirait du kishke. Il s'assit, affamé. Ouf ! Quelle puanteur ! Le Kaiser retira le couvercle de son assiette et en prit une bouchée. Il recracha aussitôt le morceau et ordonna que le plateau soit retiré et que le kishke soit jeté.

Une lettre de protestation officielle fut immédiatement envoyée au Tsar. Comment osait-il envoyer la recette d'une concoction aussi ignoble ! Le Tsar reçut la lettre de protestation et convoqua son équipe de cuisine pour obtenir des explications.

Au début, l'équipe de cuisine impériale était perplexe. Ils examinèrent la recette sans trouver le problème. Au bout d'un moment, l'un des membres du personnel s'exclama, incrédule : « Bien sûr ! Nous lui avons expliqué comment farcir et assaisonner le kishke, mais nous n'avons jamais réalisé qu'il fallait lui dire de le nettoyer avant de le farcir ! »

Cette histoire est une parabole de la téchouva. Nous prenons souvent de fermes résolutions pour l'avenir, surtout à l'approche des Jours Redoutables. À l'approche de Rosh Hashana, nous commençons à réfléchir de plus en plus aux moyens de nous améliorer. L'histoire ci-dessus nous enseigne que les bonnes actions sont certes importantes. Cependant, les résolutions sont meilleures lorsqu'elles sont précédées d'un bilan honnête afin de corriger les points à améliorer dans notre comportement. Sinon, même avec toutes les épices (bonnes résolutions) du monde, on risque de rester sale…